Thursday, July 4, 2013

Qatar to France's Hollande: 'E tu Brute?'

Is that the whole story? or is it related to what is going on in Syria, Turkey, Egypt  & Lebanon? Notably, the setbacks of the Qatari financed terrorists & insurgents  in Lebanon-Syria, the reversal of a Qatari sponsored Egyptian administration, and a mini implosion in Turkey. The winds are changing and the 'Mouse that roared' has been squashed! 
"... La délégation qui accompagnait François Hollande au Qatar il y a dix jours a été surprise quand elle a découvert que le président de la république était accueilli à sa descente d’avion à Doha par un ministre (voir photo ci-dessus) et non par l’émir, ou au moins par le prince héritier, à l'époque Cheikh Tamim. Nouvelle surprise quelques heures après, lorsqu’on s’aperçut que le repas privé entre MM. Hollande l’émir Cheikh Hamad et le prince héritier Tamim, ne dura en tout et pour tout qu’une heure dix.
Enfin dernier signe du refroidissement des relations entre Doha et Paris: ce n'est pas cheikha Mayassa, fille de l'ancien émir Cheikh Hamad et responsable de la toute puissante Autorité des musées du Qatar, qui accompagnait le chef de l'Etat français lors d'une visite à un musée de Doha, mais une simple conférencière.
Cheikha Mayassa est la soeur de Tamim, qui a été nommé deux jours après la visite de François Hollande émir par son père qui a pris du recul, dix-huit ans après avoir renversé son père Cheikh Khalifa. Grâce à son trésor de guerre, elle est très influente sur le marché de l'art à travers le monde.
Commentaire d’un membre de la délégation française : « Hollande a été accueilli plutôt froidement à Doha » où l'on a mal pris ses déclarations tenus au cours d'une conférence de presse. Tout en soulignant que les investissements du Qatar en France étaient les bienvenus, le président de la république a souhaité que ces investissements respectent certaines "conditions".  
Bref, si la France et le Qatar restent des partenaires stratégiques, l'heure n'est plus à la chaleur dans les relations entre Paris et Doha, comme ce fut le cas pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy..."

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