Friday, September 11, 2009

Liban : les limites de la normalisation


Le Monde/here
"... les limites de la normalisation engagée après les accords de Doha, en mai 2008, qui avait permis, après une longue crise, l'élection d'un président et la préparation des législatives.....
La donne a été faussée dès le départ, puisqu'il avait été admis de tous que le 14-Mars, bien que vainqueur du scrutin, serait dans l'incapacité de gouverner ce pays divisé sans la participation de la minorité comprenant des mouvements aussi puissants que le Hezbollah ou le parti chrétien du général Michel Aoun.
Entre ces derniers, qui souhaitaient imposer des personnalités, et la majorité, qui voulait garder l'initiative, M. Hariri s'est retrouvé face à une équation difficile à résoudre. La lenteur du processus, entrecoupé de voyages à Paris ou Riyad, a alors entamé le crédit du jeune premier ministre, alors même que celui-ci n'avait pas encore commencé à gouverner.
Le président de la République, Michel Sleimane, qui apparaissait comme l'un des derniers symboles de l'unité du pays et qui a multiplié les appels à trouver une solution sans parvenir à un résultat concret, ne sort pas non plus conforté dans le rôle qui devrait être le sien d'arbitre des querelles libanaises."

1 comment:

Anonymous said...

the limits of normalization initiated after the Doha agreement in May 2008, which allowed, after a long crisis, the election of a president and the preparation of legislative .....
The order has been flawed from the outset, since it was admitted that all 14-March, although the winner of the poll, would be unable to rule this divided country without the participation of the minority that includes movements such powerful Hezbollah or Party of Christian General Michel Aoun.
Between them, who wanted to impose personalities, and the majority who wanted to keep the initiative, Mr. Hariri was faced with a difficult equation. The slow process, interrupted by trips to Paris and Riyadh, then started the credit of the young prime minister, even though it had not yet started to govern.
The President of the Republic, Michel Suleiman, who appeared as one of the last symbols of national unity and has stepped up calls for a solution but failed to reach concrete results, not fate not confirmed in the role who should be his own arbiter of disputes in Lebanon. "

WILL