In Le Figaro, known for its "closeness" with the Elysee, here
"..... Assadiq est exfiltré vers l'Arabie saoudite, où des proches de Saad Hariri, l'héritier, commencent à le «briefer». Au Liban, Detlev Melhis, le procureur allemand en charge de l'enquête, est à la peine. Les témoignages abondent. Mais les preuves d'une implication syrienne manquent. Les pro- Hariri, qui collaborent étroitement avec la commission Mehlis, vont alors «faire endosser à Assadiq des informations recueillies par ailleurs».
.......Assadiq sera exfiltré par les autorités françaises. Jacques Chirac savait-il qu'il s'agissait d'«un coup monté» ? Pas sûr. Mais dès ses premiers interrogatoires, la DGSE s'en aperçoit, et refile la «patate chaude» à la DST.
.........En le mettant au secret, ses «protecteurs manipulateurs» ont voulu éviter que leur client les discrédite devant le tribunal international. Mais d'ici là, encore faudrait-il que l'aigrefin se taise..."
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