From Le Nouvel Observateur, the re throttling of a well known story, here
"...Ce qui l'avait intrigué, Khaled s'en souvient encore, c'est l'accent bizarre des braqueurs. «Ils imitaient le parler palestinien, raconte-t-il. Les Palestiniens, nous vivons avec eux depuis 1948. Je connais parfaitement leur dialecte. Pour moi, c'était des gens du Golfe ou des Saoudiens.»
Qui sont les membres du Fatah ai-Islam ? Des électrons libres ? Des membres locaux de la mouvance Ben Laden ? Un groupe armé manipulé par Damas ? Ou par Saad Hariri, comme beaucoup l'affirment au Liban ? Les protagonistes d'une histoire à tiroirs «à la libanaise» ? «La vérité, dit un politicien chrétien bien informé, c'est un peu tout celaen même temps. N'oubliez pas, ici, c'est le Moyen-Orient.»
Qui sont les membres du Fatah ai-Islam ? Des électrons libres ? Des membres locaux de la mouvance Ben Laden ? Un groupe armé manipulé par Damas ? Ou par Saad Hariri, comme beaucoup l'affirment au Liban ? Les protagonistes d'une histoire à tiroirs «à la libanaise» ? «La vérité, dit un politicien chrétien bien informé, c'est un peu tout celaen même temps. N'oubliez pas, ici, c'est le Moyen-Orient.»
Abou Jandal était-il gênant ? A-t-il été éliminé, comme l'affirment les islamistes, sur ordre du Premier ministre Fouad Siniora, ancien homme de confiance de Rafic Hariri, dont dépend directement la gendarmerie ? Ce qui est sûr, c'est qu'Abou Jandal n'était pas, en mai 2007, un inconnu des services de sécurité libanais. Pour avoir participé en 2000 aux combats entre les islamistes et l'armée libanaise dans les montagnes escarpées de Sir al-Dinniyé, à 50 kilomètres au nord-est de Tripoli, il avait été condamné, avec 21 autres islamistes, à dix ans de détention et emprisonné. Curieusement, il a été amnistié après la mort de Rafic Hariri par la nouvelle majorité parlementaire. A la demande de Saad Hariri."
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